Amène Francesca

- Que ce passe t-il ?

*se leve d'un bond et part vers la porte en courant et en pleurant*
Rien je ne peux pas vous le dire.... je dois rentrer à Versailles mon mari m'attend
*descend les escaliers en courant, essoufflée crie*
Je suis sure qu'il ne me battra plus

* la voit partir, incapable de faire un mouvement*
* s'écroule sur le lit, totalement désemparé*

Hj mdr...le pauvre que la fete commence

*revient sur ses pas, l'embrasse et murmure*
Pardon...Pardonnez moi mais c'est ma destinée... Je ne veux pas que vous souffriez trop a cause de moi...Il vaut mieux que ce soit ainsi, avant que nous soyons trop attachés...
*essaye de retenir ses larmes*
A...Adieu françois... N'oubliez jamais que si je le fais, c'est par amour!
*essaye de repartie mais il lui agripe l'épaule*

Hj repaaartttiiirrr

Hj : et c'est parti !!! lol

* la serre dans ses bras, incapable de parler*

*secoue la tete, les yeux remplis de larmes*
François il ne faut pas... Ne voyez vous pas que plus nous restons plus nous nous faisons du mal....

* secoue la tête, en signe de désaprobation*
- Non, vous ne pouvez pas dire ça

*le regarde*
Mais si.. Bien sur que... Si!!!
*regard suppliant et en même temps, murée dans ses secrets et ses craintes enfantines, murmurre*
Laissez moi s'il vous plait

* la lache, détourne le regard, et va vers la fenêtre, sans un regard pour elle*

*part en courant, trébuche dans l'escalier (grosse douée du service mdr) se ratrape au mur en grimaçant de douleur puis se rappelle que cette petite douleur n'est rien comparé à ce qui lattend. S'asseoit dans l'escalier et pleure. Regarde sa cheville et se rend compte qu'elle a une entorse*

* l'entend tomber, mais ne fais pas un geste*

*se releve, s'appuye contre le mur et descend à cloche pied. Arrive dans les écuries sor un papier de son aumonière et écrit*

Il faut me croire quand je vous dit que je vous aime. Je ne le dis jamais aux gens que j'aime, vous êtes le seul homme que comptera jamais mon coeur. Adieu

*attrape un cheval qui lui semble nerveux et tente de se hisser dessus. Après multiples efforts à cause de son entorse, retourne à paris.*

* la voit s'en aller, send son coeur se serrer, détourne la tête, désespéré*

*se retourne une derniere fois, déçue de ne pas l'avoir entendu dire quoi que ce soit. Se rend compte qu'elle l'a perdu et est persuadée que ce sera jusqu'a la fin de ses jours*

Hj : Oh c'est triiiiiiiiiiiiste

Hj : qui veut un mouchoir ?

Hj moiiiii....delphine on a toujours l'adresse du marchand de mouchoirs?